Le doute & le supplice




Ø    La nature du doute.


Q - Le doute, c'est hésiter entre deux trucs ?
R - C'est à vous de découvrir la signification de ce mot dans le contexte du jeu. Mais il est évident qu'une hésitation n'est pas absente de la chose !

Q - Le doute est-il unique ?
R - Oui.

Q - Vous parlez d'un doute en 520. Ce doute serait-il le sentiment qu'on a en allant chercher la chouette ou est-ce un sentiment qu'on a alors qu'on a pas résolu toutes les énigmes ? Autre formulation : serait-il possible qu'on ait un doute sur le terrain ? J'avoue que ce mot est déstabilisent dans le sens où je vois pas pourquoi ce n'est qu'en 520 qu'on a un doute (j'ai très souvent douté dans des énigmes antérieures). Si vous pouviez apporter quelques précisions.
R - C'est un doute de nature particulière !

Q - 520. Le doute tient-il à la 520 elle-même ou bien à des éléments antérieurs ?
R - Compte tenu de la manière dont vous posez la question (contrairement à d'autres formulations), cette fois je peux répondre : ce doute apparaît pour la première fois dans cette énigme. Il a une certaine durée de vie qui dépend de votre sagacité...

Q - Ce doute doit-il me miner les neurones ou m'apprend-il quelque chose ?
R - Il est moins méchant que vous le pensez !

Q - Ce doute, est-il à prendre dans le sens tel que l'entendait Descartes ?
R - Il s'agit d'un doute entraîné par quelque chose... Rien de plus !

Q - Le doute est-il réellement le dernier supplice ?
R - Le doute est en effet "le dernier supplice". Mais à vous d'interpréter cela.

Q - Dans la 520, le doute s’impose-t-il à nous ou est-il possible qu’on ne le ressente pas ?
R - Il s’impose à vous.


Q - Le doute peut-il être représenté graphiquement ?
R - Si je comprends bien votre question (ce dont je ne suis pas sûr), la réponse est non.

Q - Le doute peut-il être en partie quantifiable et totalement matérialisable ?
R - Quantifiable, oui. Matérialisable (au sens strict du terme), non.

Si plusieurs possibilités s’offrent à nous, ce doute peut donc peut-être être qualifié de « quantifiable ».


    Ø    De ce quoi le doute provient.

Q - Sont-ce les "eux" qui nous mettent dans le doute ?
R - Pas seulement...

Q - Est-ce l’action de dénouer les fils qui introduit finalement le doute ?
R - D’une certaine façon, oui.

Et
Q - Est-ce que le doute pourrait survenir avant que tous les fils soient dénoués ?
R - Non.

C’est bien le dénouage fils qui amène à ce que l’on doute !
Confirmé par :
Q - Le doute a-t-il un rapport avec les fils ? Est-il un choix entre plusieurs options ?
R - Il y a une sorte de rapport entre les fils et le doute, en effet. Mais je ne peux rien lâcher à ce sujet, sinon la solution !



    Ø    De ce quoi le doute ne provient pas.

Q - Le doute vient-il de la nature même de la zone ?
R - Non, le doute vient d'autre chose.

Et
Q - Le doute est le dernier supplice... Le doute quant au choix de la bonne zone ?
R - Non...

Q - Est-ce le fait de trouver seul où porter notre pelle qui doit créer le doute ?
R - Non.

Q - Le doute est-il provoqué par vous ou par nous ?
R - Ni par moi (enfin, si, un peu !), ni par vous !



    Ø    Ce que n’est pas le doute.

Q - Si on ne peut trouver l'emplacement exact [de la chouette] sur la carte, où faut-il le trouver ? Est-ce cela le doute ?
R - Non, ce n'est pas cela, le doute.

Q - Le doute est le dernier supplice... Le doute quant au choix de la bonne zone ?
R - Non.

Q - Le doute en 520 est-il un clé majeure ?
R - Le doute est d'une autre nature.

Attention à la réponse au premier degré !



Ø    Fonctionnement du doute.


Q - Le doute est-il dû à une ou plusieurs alternatives ?
R - D'une certaine façon, oui.

Q - Est-ce que le doute peut être compris comme l'hésitation entre plusieurs choix ?
R - Oui.

Et
Q - Le doute se dissipe-t-il parmi un nombre de choix ?
R - Oui.

Et
Q - Mettre fin au doute consiste-t-il à faire un choix parmi un nombre fini et précis de choix ?
R - Oui.

Et
Q - Le doute en 520 est-il plus qu'un simple choix binaire ?
R - Oui.

Rappel : il est quantifiable.
Et
Q - Doute. Ce mot peut-il signifier qu'à ce moment du jeu on a aux moins deux possibilités et qu'il faut choisir de façons certaine ?
R - Pas tout a fait !


Q - Hier vous m'avez répondu que les fils de la 520 ne concernaient pas que la 520. De la même manière, je veux savoir si le doute infligé ne concerne que la 520 ?
R - Je ne peux pas vous le dire parce que ce raisonnement ne s'applique pas de cette manière...

!!!

Q - Le début de la 520 pourrait il d'ores et déjà nous laisser deviner quel est le doute et la règle de cette partie cruelle ?
R - Je peux répondre à cette question, mais encore, pas avec la précision que vous souhaitez : il ne s'agit pas de "deviner quel est le doute, etc.". Vous possédez, à ce moment, une partie de ce qu'il faut pour cela.

Q - Puis-je aussi comprendre que dans cette phase du jeu je subirai d'abord le supplice et ensuite le doute ?
R - Les deux sont intimement liés. Je ne peux rien dire de plus.

Q - Ce doute a-t-il déjà été infligé en dehors de ce jeu ?
R - Non, ce doute est propre à la 520.

Q - Le doute peut-il signifier que quand on arrive à ce point là, on ne cracherait pas sur des données supplémentaires mais qu'on doit s'en passer malgré tout ?
R - Non, ce n'est pas dans ce sens-là qu'il faut le comprendre...

Q - Dans la 520, devra-t-on prendre une décision afin de lever le "doute" ?
R - Ce n'est pas tout a fait ainsi que cela fonctionne...

Q - Avec le temps, le doute sera-t-il levé ?
R - Le doute n'a rien à voir avec le temps.

Q - Si doute il y a dans la 520, c'est qu'à un moment du jeu, nos résultats semblent corrects à un petit détail près (un vrai supplice) ?
R - C'est exact...


Q - Est-ce que la mesure peut lever le doute ?
R - D'une certaine façon, oui.. Mais j'ai peur que ma réponse vous induise en erreur.

???
Hypothèse : ici, Max suppose que celui qui pose la question pense à la mesure (le pied, 0,33 cm) alors qu’en réalité Max répond en pensant à la mesure musicale !


Q - Ce doute peut-il m'amener à réviser mes solutions précédentes ?
R - "Réviser", non !…

Mais « revenir vers », « revoir », certainement !

Q - "Le doute est le dernier supplice...". On doit douter à ce moment du décryptage, ok. Mais doit-on lever ce doute ou faire avec ensuite ?
R - Admettons que ce doute a une certaine durée de vie qui dépend de votre sagacité !


Q - Le doute mentionné dans la 520 se rapporte-t-il a une ultime alternative proposée au chercheur ?
R - "Ultime", je ne puis vous le dire. Mais ok pour le reste.

Q - Une fois les fils dénoués, perçoit-on tout de suite le doute? Faut-il enlever (ou résoudre) le doute ou seulement le comprendre ?
R - Il faut éliminer le doute, bien sûr.

Q - Dissiper le doute, à ce stade du jeu, dépend uniquement de moi ou serai-je tributaire d'éléments extérieurs à cette énigme ?
R - Difficile de répondre... Je dirais à la fois à vous et également à cause d'éléments extérieurs (bien qu'ils aient quand même un rôle à jouer dans cette chasse). Ne perdez pas de temps avec ma réponse, car elle ne vous servira pas à grand chose...

Q - Le doute est-il un fait établi ? Ce doute se dissipe-t-il dans le cadre du jeu ?
R - Oui, ce doute se dissipe dans le cadre du jeu. C'est tout ce que je peux dire.

Q - Dans le doute dois-je utiliser ce qui est juste et connu ou ce qui me donne le doute et est probablement faux ?
R - Ce qui est juste.



Ø    Ce que nous apprend le doute.


Q - le doute va-t-il nous aiguiller dans la bonne direction ?
R - D'une certaine façon...

Et
Q - Sans jouer sur les mots, le doute nous donne la direction à suivre ?
R - Non. (Mais ce n'est pas moi qui joue sur les mots ! Vous m'avez demandé si le doute vous mettait sur la bonne piste, et j'ai bien été obligé de vous répondre "d'une certaine manière, oui" car c'est la vérité.)


Q - Vaut-il mieux ne pas douter ?
R - En effet, il vaudrait mieux ne pas douter !

On peut donc supposer que l’on doit lever le doute.



Ø    Rapport entre les fils et le doute.


Q - Le doute a-t-il un rapport avec les fils ? Est-il un choix entre plusieurs options ?
R - Il y a une sorte de rapport entre les fils et le doute, en effet. Mais je ne peux rien lâcher a ce sujet, sinon la solution !

La solution au « doute » a un rapport avec les fils !

Mais un rapport particulier :
Q - Le doute concerne-t-il le dénouement de tous les fils ?
R - Je ne peux que répondre "non" à cause du verbe "concerne" que vous utilisez.

Mais
Q - Est-ce que la distance finale est assez grande pour que ceux qui n'ont pas la connaissance du doute et des fils ne puissent trouver la chouette par tâtonnement ?
R - Ces deux choses n'ont pas de lien direct entre elles...




Ø    Le supplice.


Q - Le doute est-il réellement le dernier supplice ?
R - Le doute est en effet "le dernier supplice". Mais à vous d'interpréter cela.

Q - Pour le dernier supplice, a-t-on besoin d'un bourreau ?
R - Non !!!

Q - Le "supplice" mentionné dans la 520 porte-t-il un nom particulier ?
R - Non. Il s'agit du doute...

Q - À la fin de la 520, se trouve-t-on en un lieu évoquant la notion de "dernier supplice" ?
R - La réponse est "non".

Q - Le doute est-il réellement le dernier supplice ?
R - Le doute est en effet "le dernier supplice". Mais à vous d'interpréter cela.

Q - Le supplice de la 520 a-t-il déjà été rencontré dans une énigme précédente ?
R - Je ne puis répondre, désolé.

Q - Le doute doit-il être dissipé pour arrêter le supplice ?
R - Oui, bien sûr.

Q - Supplice. Ce terme est-il simplement symbolique ?
R - Supplice : bien sûr ! Pas question de passer par une phase où l'on vous cingle les épaules à coups de fouet !



Ø    Doute & supplice.


Q - Puis-je aussi comprendre que dans cette phase du jeu je subirai d'abord le supplice et ensuite le doute ?
R - Les deux sont intimement liés. Je ne peux rien dire de plus.