Les intervalles

Q - Dans la 520, les intervalles sont-ils propres à cette énigme ou j'ai déjà l'idée de ce que je dois trouver avant cette énigme ?
R - Vous avez déjà rencontré "eux" avant cette énigme sous une autre forme. Mais "intervalles" est propre à cette énigme.
Mais
Q - Est-ce la première fois que l'on rencontre les intervalles ?
R - Non, ce n'est pas la première fois puisque ce n'est pas la première fois que vous rencontrez "eux".



Ø    Relations entre les intervalles et les eux.


Q - Les "deux intrevalles" s'appliquent-ils seulement aux "eux" dont vous nous dites qu'ils sont connus avant la 520 ?
R - Oui.

Q - Quand vous dites « entre eux, il n'y aurait que deux intervalles... »,voulez- vous dire « entre chacun d'eux » ?
R - Non, c'est bien entre "eux" tous.

Q - Est-ce que les intervalles ne concernent que les "eux" ?
R - Oui.

Q - Y a-t-il un moyen simple de confirmer qui sont « eux » en vérifiant que entre eux il n'y aurait que deux intervalles ?
R - Cela ne vous confirmera pas leur nature. Mais vous aidera à la confirmer...

Q - Suffit-il d'identifier les "eux" pour connaître le nombre d'intervalles entre eux ?
R - Je ne peux pas vous dire si ce nombre dépend de l'identification des "eux". Mais il est vrai que si vous les avez identifiés, vous connaissez à la fois leur nombre et le nombre d'intervalles qui les séparent.

Q - Lorsque les "eux" nous auront aidés, faut-il à ce stade prendre conscience des différences pouvant résulter de ces intervalles ?
R - Non. Plus à ce stade là.
!!!



Ø    La proposition « Entre eux, il n’y aurait que deux intervalles s’ils étaient alignés » n’est qu’un pur problème de raisonnement, une hypothèse théorique…


Q - « Entre eux il n’y aurait que deux intervalles » est-il vérifiable sur une carte ou seulement sur le terrain ?
R - Intervalles : ce n'est qu'un pur problème de raisonnement.

Q - En 520, les deux intervalles qu'il y aurait entre eux s'ils étaient alignés sont-ils égaux ?
R - Ca n'a pas d'importance puisque c'est une hypothèse théorique.



Ø    … qui n’est pas la bonne mais dont le but est de mettre en exergue l’hypothèse correcte.


Q - Les "eux". Puisque nous devons envisager leur alignement, est-il stupide d'envisager également que les deux intervalles crées par cet alignement soient égaux ?
R - Relisez l'énoncé : il n'est dit nulle part que vous devez "envisager leur alignement" hormis de manière intellectuelle, afin qu'en rejetant cette hypothèse vous trouviez la bonne. Il s'agit d'un conditionnel... Votre question ne se pose donc pas.

Max a dit (à propos de « Entre eux il n’y aurait que deux intervalles s’ils étaient alignés» ) :
L'énoncé traite d'une hypothèse qui n'est pas la bonne, afin de mettre en exergue la bonne !



Ø    Les intervalles sont de nature géographique.


Q - Par « intervalles », vous voulez dire « espaces » ?
R - Intervalles : oui, espaces.

Q - "S'ils étaient alignés (…) deux intervalles". Il s'agit bien d'intervalles au niveau géographique et pas au niveau du temps ?
R - Oui, il s'agit d'intervalles géographiques.



Ø    Le nombre d’intervalles.


Q - Quand on découvre à quoi s'appliquent les deux intervalles, trouve-t-on ce fait plutôt logique ou plutôt surprenant ?
R - Justement, il n'y a pas "deux" intervalles. Relisez bien le texte et vous comprendrez ce que cela cache.

Q - Peut il y avoir un nombre d'intervalles variable ?
R - Non. D'ailleurs, l'énoncé le dit assez clairement.



Ø    La « mesurabilité » des intervalles.


Q - « (…) deux intervalles s'ils étaient (…) ». Question : est-ce un intervalle est mesurable en mètres ?
R - Je ne peux pas vous dire s'il faut les mesurer, et dans l'affirmative, s'il faut les mesurer en mètres. Mais on peut les mesurer. Ça, c'est sûr !

Si on peut mesurer les intervalles, …

Q - Les intervalles, sont-ils mesurables ?
R - Bien sûr qu'ils sont mesurables. Le tout est de savoir si cela est important ou pas...

… il est alors étonnant de se rappeler qu’il existe plusieurs madits établissant une relation (peut-être non fondée) entre la notion d’intervalle et celle de mesure.

Q - « Entre eux, il y n’aurait que deux (…) ». Question : l'intervalle a-t-il la même valeur que la mesure ?
R - Je ne peux absolument (mais alors : absolument !) rien dire au sujet de la (des) valeur(s) de la mesure. Vous devez trouver cela sans mon aide...!

Q - Pour vous, un intervalle est une grandeur variable ou au contraire une unité de mesure ? Bien sûr, je parle des intervalles entre les « eux »…
R - Vous me demandez de vous dévoiler ce que vous devez trouver vous-même ! Navré, je ne peux pas vous répondre.

Un intervalle pourrait-il représenter une notion de distance, une mesure ?



Ø    Les intervalles sont-ils égaux ?


Q - "Entre eux, il n'y aurait que deux intervalles s'ils étaient alignés...". Dans ce cas de figure, les intervalles seraient ils-égaux ?
R - Si votre question porte sur une égalité des distances ou une égalité de nombre d'intervalles, ce n'est pas la même chose. Je pensais que vous parliez d'une égalité de nombre d'intervalles. Si vous parlez d'une égalité de distance, je ne peux pas vous répondre. Non pas parce que je ne le veux pas, mais parce que je ne le peux pas, cette hypothèse (l'alignement) étant fausse. L'énoncé le dit clairement. Je ne peux donc pas répondre à une question qui porte sur une chose qui n'existe pas.

Q - Les intervalles sont-ils nécessairement égaux ?
R - Je ne puis vous le dire.

Q - Dans la 520, pour vous, deux intervalles sont-ils forcement équidistants ?
R - Je ne peux pas répondre à cette question.

Q - En 520, les intervalles ont-ils tous la même longueur ?
R - J'ai déjà dit que je ne pouvais pas répondre à cette question.
Si les intervalles étaient de nature musicale, il est compréhensible que Max ne puisse pas répondre à ce type de questions…

Q - Lorsque les "eux" nous auront aidés, faut-il à ce stade prendre conscience des différences pouvant résulter de ces intervalles ?
R - Non. Plus à ce stade là.
Dans cette réponse, Max n’avouerait-t-il pas que les intervalles ont pu avoir été, à un moment donné, différents les uns des autres ?



Ø    Les intervalles et la notion d’alignement.


Q - Serait-ce un jeu bien trop facile : 1) s'il n'y avait que deux intervalles entre eux ; 2) s'ils étaient alignés ?
R - Non : s'ils étaient alignés, il n'y aurait que deux intervalles ! Donc, ils ne sont pas alignés !

Q - Si les « eux » étaient alignés, les intervalles seraient-ils de la même taille ?
R - Mais ils ne sont pas alignés, donc je ne peux pas vous répondre !

Q - Dans cette énigme, qu'est-ce qui serait trop facile ? Le fait qu'ils soient alignés ou qu'il n'y ait que deux intervalles entre eux ?
R - Entre autres, le fait qu'ils auraient pu être alignés... Pour les intervalles, je ne peux bien sûr pas vous répondre.



Ø    Fonction, utilité des intervalles.


Q - Les intervalles me permettent-ils de voir quelque chose ?
R - Intervalles : "voir", non.

Q - Quand on connaît le nombre d'intervalles entre "eux", pouvons-nous être amené à employer un "savoir-faire" récurrent qui nous permettra alors de poursuivre dans l'énigme ?
R - Je ne peux pas vous dire si un savoir-faire "récurrent" vous aidera, mais je peux vous dire qu'il faut poursuivre dans l'énigme. Cette dernière remarque n'est pas motivée par le fait que, de toute évidence, l'énigme n'est pas décryptée à ce stade, mais par le fait qu'à partir de là, vous devez utiliser ce qui vous semble judicieux pour continuer.

Q - Après avoir pris conscience de ce que les intervalles doivent nous apprendre, est-ce que l'emploi de cette connaissance nécessite d'avoir recours à une opération afin d'obtenir une conclusion ?
R - Si par "opération" vous parlez d'une opération mathématique (ou algébrique) ou géométrique, je ne peux pas vous le dire. Si vous entendez par là d'analyser ce que vous venez de trouver, la réponse est oui.

Q - « Il n'y aurait que deux intervalles si... » ; ceci ne nous propose-t-il pas une mise ou remise sur le droit chemin afin de gommer les erreurs de trace(é ?)s.
R - J'ignore volontairement le mot "trace(é)s". Cette réserve faite, la réponse est "oui ".
!!!

Q - Après avoir pris conscience de ce que les intervalles doivent nous apprendre, est-ce que l'emploi de cette connaissance nécessite d'avoir recours à une opération afin d'obtenir une conclusion ?
R - Si par "opération" vous parlez d'une opération mathématique (ou algébrique) ou géométrique, je ne peux pas vous le dire. Si vous entendez par là d'analyser ce que vous venez de trouver, la réponse est oui.



Ø    Hypothèse.


Q - Pour vous, un intervalle est une grandeur variable ou au contraire une unité de mesure ?
R - Vous me demandez de vous dévoiler ce que vous devez trouver vous-même ! Navré, je ne peux pas vous répondre.
Un intervalle ne serait-il pas une « distance » qui séparerait les différents points de la zone ?



Ø    La forme de la phrase.


Q - Les deux premières phrases "entre eux..." et "mais ce serait là..." nous invitent-elles à une action ou une résolution concomitante ?
R - La première proposition n'est pas une action, mais un indice. La deuxième n'est pas une action non plus, mais une remarque. Je ne sais donc pas que vous répondre...



Ø    Divers.


Q - Le nombre d’intervalles entre eux nous aide-t-il à compter les fils?
R - Non.

Q - « Entre eux il n y aurait que deux intervalles » est-il vérifiable sur une carte ou seulement sur le terrain ?
R - Intervalles : ce n'est qu'un pur problème de raisonnement. Je ne peux pas en dire plus,

Q - Les intervalles sont-ils réguliers ?
R - Intervalles : je ne peux pas répondre à cette question, désolé.

Q - Si entre les intervalles j'ai trouvé l'emplacement dans mon fauteuil (…).
R - Je ne peux évidemment pas commenter votre hypothèse, en particulier celle que vous évoquez en parlant d'intervalles (…).
???