Préambule à l'énigme 520




Ø    Postulat à la découverte de la zone.


DONNEE : NOUS AVONS LA ZONE À L’ISSUE DE LA RÉSOLUTION DE LA ONZIÈME ÉNIGME.



On peut supposer de manière absolument certaine l’idée que Max ait posé un ou plusieurs « verrous » nous interdisant la possibilité de pouvoir décrypter la 520 (ou des morceaux de la 520) sans avoir au préalable décrypté les autres énigmes (toutes les autres ou seulement certaines). En effet, afin d’éviter le phénomène du « je-ne-décrypte-que-la-dernière-énigme » et je découvre alors, sinon la zone, du moins des indices à son propos qui pourraient m’aiguiller rétroactivement, Max a dû s’assurer de la découverte par le chercheur de certains préalables au décryptage de la 520.


Quels sont ces préalables que je nomme « verrous » ?

On ne peut que les supposer. Et partant de là, estimer subjectivement le degré de probabilité de l’existence de chacun d’eux.


Nous supposerons cinq verrous :

-    Deux verrous irréfutables.
-    Un verrou fortement probable.
-    Deux verrous possibles et ayant trait spécifiquement aux méthodes de décryptage de l’énigme 520.


    Ø    Premier verrou - irréfutable : l’énigme précédente.

Synthèse du Figaro Magazine, à propos de l’énigme 520 :
« Vous devez avoir trouvé la solution de l’énigme précédente pour décrypter celle-ci. »

C’est notre premier verrou et il est de taille. En effet, l’énigme précédente est la 650. Et cette énigme est elle-même tributaire d’autres énigmes.

En effet, elle est tout d’abord tributaire de la 560 qui permet de déterminer l’endroit à partir duquel on doit se placer « dos au Ponant » (le « là »). Si l’on poursuit alors notre « remontée », essayons de voir de quelles autres énigmes est elle-même tributaire la 560. On pense alors à la 530 (l’Ouverture), la 420 (la Lumière Céleste) [pour d’autres chercheurs, ça sera la 470 tandis que pour d’autres encore, le duo 470-420]. Aucune de ces trois énigmes (la 530, la 420 et la 470) n’est à son tour tributaire d’autres énigmes à ceci près que leur résolution est induite (dans une certaine mesure) par l’ordre général de résolution des énigmes ; ajoutons donc à notre corpus d’énigmes nécessaires, l’énigme B.

En conclusion, afin de faire sauter ce premier verrou, nous devons donc avoir décrypté et résolu les énigmes B, 530, 420 (ou 470 ou le duo 470-420), 560 et 650.

Cela compose d’ores et déjà un verrou de taille considérable.


    Ø    Deuxième verrou - irréfutable : les « eux ».

Il apparaît clairement que les « eux » représentent une notion que l’on a rencontrée antérieurement à l’abord de cette énigme. Cela est confirmé d’abondance par les madits. Donc le décryptage de la 520 répond absolument au préalable de l’identification des « eux ».


    Ø    Troisième verrou - fortement probable : l’absence d’informations en clair.

J’appelle « primo-décryptage » un décryptage qui nous saute aux yeux et ce, quel que soit le contexte dans lequel il se trouve. Par exemple, lorsque nous posons nos yeux pour la première fois sur l’énigme 500, l’élément « 2424-42… » ainsi que la présence d’un morse sur le visuel nous amènent à trouver « Carignan » assez rapidement et sans trop de difficultés. Ce décryptage peut s’effectuer en dehors du contexte chronologique et contextuel de la chasse.

Si un primo-décryptage existe pour la 520, alors il n’est guère imaginable que des informations apparaissent ou bien soient donnés en clair. En effet, puisque que l’on sait que l’on obtient la zone à l’issue de cette énigme, une personne décryptant « tôt dans le jeu » ces informations en clair pourrait dès lors avoir, sinon la zone, tout au moins des informations à son sujet sans pour autant être passée par les énigmes intermédiaires.

Donc, soit il n’existe pas de primo-décryptage pour la 520, soit, quelle que soit la manière de décrypter cette énigme indépendamment de toute(s) autre(s) chose(s), aucune information en clair n’apparaît.


    Ø    Quatrième verrou - possible : le retour sur certaines énigmes et leur utilisation au cours du décryptage même de la 520.

Il est envisageable de penser que la 520 puisse fonctionner comme une espèce de synthèse ; peut-être pas de la chasse dans sa totalité, mais tout au moins de certains de ses points de passage.

Max pourrait avoir eu recours à cette méthode afin de s’assurer que nous avons bien décrypté les énigmes avant d’en arriver là.

On peut même imaginer, pour des raisons d’« extrême sécurité », que ce verrou établisse un retour sur les énigmes non concernées par le premier verrou (cf. ci-dessus). De cette manière, en cumulant ces deux verrous, on peut donc même se laisser aller à supposer que c’est donc la totalité des énigmes qui doit être résolue.

Mais cette précédente assertion est infirmée par le madit suivant :
Q - Toutes les énigmes sont indispensables pour trouver la chouette, fort bien. Mais toutes sont-elles indispensables pour trouver la zone ?
R - Bien sûr que non ! Il faut bien "amener" les énigmes à fournir des solutions qui contribuent à la découverte de la zone, mais sans la donner forcement. Par conséquent, certaines n'ont qu'un rôle très secondaire à jouer dans la localisation proprement dite de la zone.

Revenons donc sur notre propos : afin de décrypter la 520, nous avons besoin d’avoir décrypté CERTAINES énigmes précédentes, mais pas TOUTES les énigmes de la chasse.

Q - La zone est-elle donnée par une seule énigme ou par l'ensemble ? Est-elle donnée à l'échelle réelle ou trouve-t-on uniquement sa forme ?
R - La zone est donnée à l'issue de la onzième énigme. Mais la onzième est le résultat logique de l'enchaînement des précédentes... Ce n'est pas une question d'échelle ou de forme, mais une question de repérage géographique simple. Par exemple, une zone située entre trois ou quatre points précis...

Ce madit appuie l’idée que l’énigme 520 serait bien une sorte d’aboutissant de la chasse et dont certaines énigmes précédentes en seraient les tenants.

Q - À l'issue de la onzième, on a une zone. Le visuel de la onzième aide-t-il réellement à découvrir la zone ? Je ne demande pas si on peut la trouver sans mais s'il sert à la trouver.
R - Je ne peux pas vous dire si le visuel de la onzième sert à découvrir la zone. J'ai dit que la zone était trouvée à l'issue des onze énigmes, mais n'oubliez pas que c'est un processus qui vous amène petit à petit à cette zone, au travers des différentes étapes du jeu...

Si la 520 est donc la fin du processus, alors certaines énigmes précédentes en sont les composantes.


    Ø    Cinquième verrou - possible : le retour sur la notion de « lumière » et son utilisation.

La « lumière » est une notion ô combien importante et récurrente au cours de la chasse.

Le visuel de la 520 nous indique sa présence dans cette énigme.

On peut donc imaginer qu’il faille, à ce niveau, en connaître parfaitement la nature pour pouvoir l’exploiter dans cette énigme. Or, le concept de lumière court sur plusieurs énigmes. À nouveau, par ce biais, Max nous condamne ainsi à avoir résolu et compris les énigmes mettant en œuvre la lumière et sa (ses) représentation(s).



Ø    Comment peut-on déterminer une zone sur la carte au méga ?


DONNEE : NOUS DISTINGUONS TROIS TYPES DE METHODES.



    Ø    Les méthodes cartographiques.

1)    Tracer des droites dont les intersections "fassent apparaître" une forme géométrique. (Opération de dessin sur la carte.)
2)    Poser un « gros point » sur la carte. (Opération de dessin sur la carte.)


    Ø    Les méthodes textuelles.

1) Décrypter le nom (propre ou commun) d'« éléments-frontières » de la zone (des villages, des rivières, des limites de département, des routes, des repères plus précis (pylônes, monuments, écluses, etc.), etc.). En les reliant, on détermine une zone.
2) Identifier nommément le « contenu » de la zone. Avec cette méthode, on obtient la zone depuis son « intérieur » en quelque sorte. Ex. : « La partie sud de la forêt Machinchose et la partie nord située entre tel et tel villages. »
3) Utiliser un mélange des deux méthodes textuelles énoncées ci-dessus.
4) Effectuer un parcours en suivant des instructions 
décryptées de déplacements et d'étapes. Ce parcours servirait à circonscrire  les « limites » de la zone. Ex. : « Départ. Château d’eau. Trois kilomètres au nord puis deux kilomètres au sud. Trouve la grotte et file vers la tour à droite de la carrière. Revient à ton point de départ. »


Pour ces méthodes textuelles, il n’est pas imaginable que, comme nous l'avons déterminé plus haut, des noms de lieux soient donnés en clair. Il devrait s’agir d’allusions ou de descriptifs. En effet, une personne décryptant « tôt dans le jeu » ces noms en clair pourrait dès lors avoir la zone sans passer par les énigmes intermédiaires.

Néanmoins, cette dernière réserve pourrait devenir caduque si l’énigme 520 nous révélait une astuce, un code afin d’aller « piocher » dans des énigmes antérieures des éléments que ce même code « transformerait » en éléments nominatifs. Dès lors, il serait donc nécessaire d’avoir résolu l’astuce de la 520 permettant d’opérer de cette manière ainsi que les énigmes antérieures concernées. Cela répondrait, tout au moins dans une certaine mesure, à l’impératif de Max qui nous dit qu’il est nécessaire d’avoir résolu certaines énigmes pour trouver la zone. Cette astuce devrait donc nous indiquer : les énigmes antérieures concernées, les éléments à retenir dans ces mêmes énigmes, le code nous permettant d’altérer les éléments retenus, de manière à ce qu’ils deviennent des « éléments en clair» constitutifs de la zone.


    Ø    Les méthodes graphico-alternatives.

1) Trouver, décrypter ou construire la forme de la zone à partir des visuels ainsi que la manière de la placer sur la carte.
2) Trouver, décrypter ou construire la forme de la zone à partir de nos tracés (aides de Neptune, TANPR, etc.) ainsi que la manière de la placer sur la carte. (Opération de dessin hors de la carte.)



Ø    Quel type de méthodes retenir ?


Q - Faut-il tracer la zone sur la première carte avant de la reporter sur la seconde carte ?
R - Vous obtenez la zone d'une "certaine façon", que je ne peux pas dévoiler. Mais vous pouvez ENSUITE tracer ses limites sur la première carte, oui.


Dans ce madit, Max nous dit :

- Vous obtenez la zone.
- Vous pouvez ENSUITE tracer ses limites sur la carte.
Dès lors, nous en concluons donc que nous n'obtenons pas la zone en repérant ou traçant ses limites sur la carte.

Q - Peut-on délimiter la zone finale avec précision ?
R - Pas besoin de la « délimiter ». Mais l’identifier, oui.



Ces madits semblent éliminer sans ambiguïté les méthodes strictement cartographiques qui se basent sur des dessins sur la carte.

En effet, l’obtention de la zone semble précéder la possibilité que l’on puisse en tracer ses limites. Or avec les méthodes cartographiques, ce sont les limites mêmes de la zone qui la déterminent.


Par ailleurs, Max a ajouté :

Max a dit :

Je ne peux pas dire par quel artifice GRAPHIQUE on cerne cette zone.


Ce madit semble éliminer sans ambiguïté les méthodes strictement textuelles.


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Conclusion.


S’agirait-il finalement d’user d'un artifice graphique afin de déterminer la zone ?

Cela tombe bien puisque les méthodes graphico-alternatives qui subsistent après l'analyse des madits sont en substance de type graphique.

Cela étant dit, on peut encore aller plus loin en imaginant qu'une de ces méthodes retenues puisse, en sus de son fonctionnement propre, emprunter aussi de manière parcimonieuse des éléments de décryptage à l'un ou l'autre de ces grands types que nous venons d'éliminer.

Il s'agira donc de procéder avec la plus grande attention.



Ø    Le flottement de la zone & le gommage des imperfections du chercheur.


DONNEE : 

Max a dit :
« J'ai dit que si un chercheur ne s’appliquait pas assez, cette zone serait "flottante", c’est-à-dire qu’elle ne serait pas très exactement à sa place. Ceci, pour préciser que cette chasse a été conçue de manière à "pardonner" de petites imperfections. »



Question 1.
Par rapport à cette assertion, comment peut-on faire « flotter » la zone ?

Question 2.
Par rapport à cette assertion, à quoi correspondent les imperfections dont il est fait mention ?


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Éléments de réponse.


    Ø    Premier élément de réponse.

Dans le madit cité ci-dessus (en DONNEE), Max a l'air de convenir du fait que plus nous nous appliquerons, moins la zone flottera.

Mais à quoi entend-t-il que nous nous appliquions ?

Je pense que cette "application" ne peut procéder que d'un travail d'ordre graphique.

Conclusion.
Il faudra procéder, à un moment ou à un autre de la recherche de notre zone, à un travail d'ordre graphique.
Et c'est de la précision de ce travail graphique que sera engendré un flottement plus ou moins important de la zone.


    Ø    Deuxième élément de réponse.

Max a dit :
Le jeu a été construit de manière à tolérer de petites imprécisions qui font que la zone peut très légèrement "fluctuer". Compte tenu que la chouette est à l'intérieur de cette zone, le fait que le périmètre de cette dernière tolère une légère variation n'a pas d'importance sur la localisation précise de la cache. En d'autres termes, imaginez par exemple une zone triangulaire de la taille d'une ville moyenne. Vous pouvez déplacer légèrement ce triangle dans toutes les directions (je dis bien "légèrement" !) en fonction des petites imprécisions résultant de vos solutions. Mais le point localisant la cache sera toujours à l'intérieur de ce triangle puisque le déplacement théorique de ce dernier n'affectera en rien la méthode permettant de localiser l'oiseau. J'espère que vous avez compris ces explications car ce n'est pas évident à rédiger !


Ces imprécisions résultent de nos solutions.

Hum.

Une solution est juste ou fausse. Il est difficilement imaginable qu'une solution puisse être "imprécise".

Par contre, la transcription (graphique ou autre) d'une solution, peut être, elle, "imprécise".

Exemple : « Village X, Village Y et Village Z » déterminent notre zone.
Si ces villages ne sont pas mentionnés sur la première carte, il nous appartiendra donc de les y situer le plus précisément possible. Cette opération peut s’avérer délicate et malgré toute notre attention, il se peut que nous ne fassions pas coïncider la position de ces villages à leur parfait emplacement cartographique. Du coup, notre zone « ne serait pas très exactement à sa place ».

De la même manière, l'éventuelle surface « étendue » de ces repères sur une carte IGN au 25000ème engendrera automatiquement un « flottement » de la zone. En effet, le moindre village peut atteindre quelques centimètres carrés sur une telle carte et dès lors, où positionner les sommets de notre zone ? Fatalement, cette décision sera différente selon les chercheurs.

Malgré tout, selon Max, le jeu a été conçu de telle manière que ces imperfections soient « pardonnables » ; on suppose donc qu’elles n’engendreront pas de catastrophes telles que l’on ne puisse, malgré cela, ne pas trouver la chouette.


Ø    Troisième élément de réponse.

Max a dit :
Q - La zone a une forme patatoïde et son emplacement peut varier légèrement en fonction des tracés des chercheurs. Doit-on en conclure que la zone a toujours la même forme mais peut être « déplacée » un peu ou bien qu'elle est toujours en gros au même endroit mais que c'est sa forme qui peut varier ?
R - C'est une très bonne question mais à laquelle je ne peux hélas pas répondre. Je me demandais quand quelqu'un se déciderait à me la poser ! Dans ce refus de répondre, il n'y a aucun piège et surtout il n'y a aucune conclusion à en tirer. Simplement, si je répondais, cela révèlerait un détail que je ne veux pas dévoiler.


Il n'y a trop rien à tirer de ce madit en ce qui concerne le sujet qui nous occupe.

Par contre, il est remarquable de constater que 
Max "laisse passer", ne rebondisse pas sur l'expression "son emplacement peut varier en fonction des tracés !"

Doit-on en conclure que c'est bel et bien à cause de tracés que la zone puisse "flotter" ?

Conclusion.
Au cours de l'utilisation de l'une des deux méthodes graphico-alternatives exposées ci-dessus (ici), nous tracerons.


Confirmé par:
Q - On sait que la zone varie en fonction de l'exactitude ou de l'imprécision de nos propres traces. Par « traces », vous voulez dire « déductions » je suppose ?
R - Non, « tracés » avec un accent aigu sur le e. Les lignes que vous pourriez tirer en vue d'isoler la zone.



Il est intéressant de noter que puisque nous aurons des tracés à réaliser au cours de la réalisation de cette énigme, il est possible que nous ayons à les associer avec l'utilisation de la mesure. Dès lors, si tel était le cas, nous aurions la réponse à la question que nous nous posions quant à l'énigme dans laquelle la mesure pouvait être utilisée sans pour autant être nommée. (Voir ici.)



Ø    Le contour de la zone.


Max a dit :
Il y a tout de même une grande différence entre ce que vous pouvez tracer sur la première carte et ce que vous pouvez tracer sur la seconde compte tenu de leurs échelles ! À la fin de la onzième énigme, vous avez la zone - laquelle est de forme patatoïde -, mais de la à dire que vous avez son contour de manière à le "lire" sur la première carte, ce serait exagéré !



Deux éléments à tirer de ce madit.

- Il est illusoire de penser que l'on va pouvoir "lire" le contour de la zone sur la première carte.
- Il est donc envisageable que nous déterminions la zone sans - utiliser - la première carte.

En osant aller encore plus loin, rappelons que dans le cadre de nos deux méthodes
graphico-alternatives exposées ci-dessus (ici), nous sommes conduits en dernier lieu à placer la zone sur la carte.

Faut-il dès lors en penser que c'est une étape que nous aurons à réaliser directement sur la seconde carte, sans passer par la première carte ?.

Si tel est le cas, nous venons alors d'isoler très très précisément le moment où il conviendra de passer à la seconde carte.



Ø    La forme de la zone.


Max a dit :
Quant à sa forme, elle aurait très bien pu être différente sans que cela ne change quoi que ce soit. Mais dans ce cas, certaines énigmes auraient été elles-mêmes différentes.


Avec ce madit, il apparaît évident que certaines énigmes nous donnent des "morceaux géométriques" ou bien des limites de la zone.


Deux éléments à tirer de ce madit.

- Cela surconfirme bien l’idée que plusieurs énigmes sont à utiliser pour déterminer la zone.
- Cela surconfirme bien l'idée de l'emploi d'une méthode graphique.


Q - La zone de forme irrégulière est constituée d'une multitude de formes géométriques, c'est bien ça.
R - Selon la manière dont je comprends votre question, je peux aussi bien répondre « oui » que « non ». Mais il m'est impossible de vous dire - ou de confirmer - la manière dont vous devez trouver la zone. Cela fait partie du jeu et si je vous répondais, je le fausserais.
!!!



Ø    Un ou des repères ?


Max a dit :
La carte finale n'est qu'un agrandissement de la zone. Donc oui, par la force des choses, certains éléments ayant servi à déterminer la zone s'y trouveront.

Deux éléments à tirer de ce madit :

- Nous nous aidons d'éléments pour déterminer la zone.
- Certains de ces éléments sont de nature géographique puisqu'ils se retrouvent sur une carte IGN au 250000ème.



Il est par ailleurs intéressant de constater qu'à proximité de l'endroit où nous nous trouvons au sortir de l'énigme 650, et sous réserve que l'énigme 520 ne nous en emmène pas loin, nous avons un nombre précis (et restreint) d'éléments qui sont susceptibles de se trouver sur la seconde carte.

- Dabo, village.

- Le Rocher de Dabo.
- La Borne Saint-Martin.



Si l'on postule que l'un et / ou l'autre de ces éléments puissent être utilisés en tant que points servant à définir le contour du polygone irrégulier qu'est la zone sur la seconde carte, alors on peut considérer que le premier de ces éléments (Dabo village) est relativement trop "étendu en surface" pour consister, à l'échelle de la seconde carte, en un tel point.

De cette manière, seuls le Rocher de Dabo et la Borne saint-Martin seraient assez "précis sur la seconde carte" pour constituer des points du contour de la zone.


Cette "histoire" de points a l'air d'être confirmée par les deux madits suivants :
Q - N'est-il pas difficile de reporter précisément la zone finale sur la deuxième carte sans avoir au moins un compas dans l’œil ?
R - Non !

Cela laisse sous-entendre que l’on dispose de « points » faisant office de repères…

Q - Trouve-t-on les différents points délimitant la zone dans un ordre précis ou les trouve-t-on d'une manière aléatoire et à nous de les remettre dans l’ordre ?
R - Non, vous les trouvez dans un certain ordre.

Confirmation de l'existence de points délimitant la zone !!!

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Et concernant une éventuelle nécessité de documentation au sujet de repères dans la zone :

Q - Faut-il être bien documenté pour trouver la zone ?

R - La zone vous est donnée par vos décryptages, à l'issue de la onzième énigme, pas grâce à de la documentation.

Q - Pour délimiter la zone à l’issue de la onzième est que le texte de l’énigme suffit ou plutôt faut-il se documenter ?
R - Vos solutions suffisent (même si, pendant le décryptages des énigmes, il a peut-être fallu vous documenter).